Positionnés aux entrées/sorties des stations de métro Bir-Hakeim, Glacière et Place d’Italie (13e arrondissement de Paris), Gaîté et Pernety (14e arrondissement de Paris) et Dupleix et La Motte-Picquet – Grenelle (15e arrondissement de Paris), plusieurs salariés de Biocoop Toutelabio convièrent les prospects à découvrir l’offre des magasins bio dans chaque zone de chalandise. Chacun des protagonistes portait un sweat et un tablier personnalisés, ainsi qu’une manne en osier remplie de flyers et de pommes cultivées en agriculture biologique. A la sortie du bureau ou à la pause déjeuner, les passants repartirent ainsi avec un bon de réduction et une pomme bio à déguster. Afin d’accentuer la visibilité de la mise en scène, un triporteur habillé aux couleurs de Biocoop Toutelabio arpenta les environs et achemina les fruits de site en site. Accomplie dans une atmosphère joviale et détendue, l’opération de street marketing a développé la notoriété locale de chaque point de vente.
Glissés dans le rétroviseur conducteur de plusieurs centaines d’automobiles, des bons de réduction étonnèrent les propriétaires des véhicules de part leur forme. Lorsque les clients potentiels approchèrent de leur voiture, ils détectèrent la feuille d’un arbre insérée dans le rétroviseur. Surpris, ils enlevèrent la feuille et découvrirent qu’il s’agissait en fait d’un bon de réduction à valoir auprès des six magasins Biocoop Toutelabio à Paris et en Ile-de-France. L’aspect original du support de communication conféra un caractère durable à l’opération de street marketing et permis de singulariser le membre du réseau Biocoop de ses concurrents.
Face à la concurrence grandissante sur le marché de la e-cigarette, J WELL a souhaité promouvoir sa boutique située au cœur de Montmartre avec des clean tags (marquages propres). Diffusés aux points névralgiques du quartier, les marquages propres (clean tags), réalisés à la peinture biodégradable, ont permis au leader français de marquer son territoire et d’accroître encore davantage sa notoriété dans le nord de Paris.
Dans une zone de publicité très restreinte comme la butte Montmartre, le clean tag (marquage propre) se révèle être la réponse pertinente au souci de communiquer autrement.
Attentive à l’accueil réservé aux visiteurs de la 4e édition des Ateliers de Rennes, Art Norac a fixé son choix sur une signalétique durable. Répartie sur trois lieux d’exposition connus à différents degrés, l’association pour le mécénat du groupe agroalimentaire Norac se devait de faciliter l’accès à la biennale d’art contemporain créée en 2008. Ainsi, plusieurs dizaines de clean tags (marquages propres) ont guidé les visiteurs depuis les principaux moyens de transport environnants. Réalisés à la peinture biodégradable, les marquages propres (clean tags) offrirent de surcroît une visibilité notable à l’événement.
Premier temps fort de la saison culturelle 2014/15 de la Bibliothèque de Rennes Métropole et des Champs Libres, l’ouverture d’Un automne littéraire coïncida avec la frénésie de la rentrée universitaire. C’est au beau milieu de cette effervescence que trois hôtes prirent place aux environs immédiats du campus de Villejean et en plein cœur du centre-ville de Rennes. Munis de maxi journaux, ils éveillèrent l’intérêt des visiteurs potentiels et donnèrent la liberté aux deux distributeurs de programmes d’inviter les personnes intéressées à assister aux rencontres d’écrivains qui jalonnèrent Un automne littéraire.
Ce dispositif de street marketing mit en lumière l’événement et permit aux deux structures culturelles rennaises de capitaliser de la sympathie.
Vecteur de communication durable en plein essor, le clean tag (marquage propre) s’inscrit pleinement dans une démarche écologique. Soucieux de promouvoir la 23e édition du festival Le Chainon Manquant avec un impact environnemental le plus faible possible, l’association Le Chainon/FNTAV, sous l’impulsion de la Ville de Laval, a arrêté son choix sur des marquages propres (clean tags) à l’eau et à la peinture biodégradable à la craie.
Le sol du centre-ville de Laval n’étant pas suffisamment sale et principalement composé de pavés ou de dalles, les marquages propres (clean tags) à l’eau ont été réalisés sur plusieurs dizaines de signalisations horizontales composant les passages pour piétons. A l’aide d’eau, d’un nettoyeur haute pression à faible consommation et d’un pochoir, ils ont été visibles deux semaines.
Dans un espace urbain saturé par la publicité, le clean tag (marquage propre) permit de toucher un nombre important de spectateurs potentiels tout en préservant l’environnement.
Profitant de l’effervescence suscitée par la 8e édition du festival Les Déferlantes, quatre hôtesses bouquinèrent des journaux géants sur la longue promenade bordant les plages bondées d’Argelès-sur-Mer et à l’entrée du parc accueillant les nombreux concerts. Flânant puis se figeant lorsqu’elles repéraient des prospects, les lectrices de maxi journaux attirèrent l’attention des passants et encouragèrent les personnes intéressées à prendre connaissance de la nouvelle opportunité immobilière proposée par Bouygues Immobilier à Argelès-sur-Mer.
Appuyé par une distribution de dépliants, ce procédé de street marketing dota le nouveau programme immobilier d’une visibilité substantielle et donna la possibilité à Bouygues Immobilier de capitaliser de la sympathie.
Soucieux d’apporter un accueil qualitatif et de faciliter l’accès aux visiteurs de la 8e édition de Campus, le barreau de Paris a opté pour une signalétique durable. Semés sur les chemins menant à l’Ecole de Formation du Barreau, plusieurs dizaines de marquages propres (clean tags), réalisés à la peinture biodégradable, ont aiguillé les participants depuis la gare d’Issy-Val de Seine. Ecologiquement neutre, le clean tag permit de renseigner clairement et efficacement les avocats de Paris.
Mise en place aux quatre coins de Saint-Jacques-de-la-Lande, l’opération de street marketing était constituée de trois éléments. En premier lieu, plusieurs centaines de ballons recyclables aux couleurs de la municipalité ont fait office de support de communication. Attaché au rétroviseur conducteur de chaque véhicule et au mobilier urbain, chaque ballon gonflé à l’hélium était imprimé du logo de la 3e édition de la Fête du vélo. Le grand nombre de ballons de baudruche plongea chaque lieu dans une atmosphère festive. Ainsi, la Ville de Saint-Jacques-de-la-Lande a été associée à un moment de joie et de partage.
Ensuite, afin de décupler la visibilité de ce dispositif, des marquages propres (clean tags) en forme d’empreinte de pneu de vélo ont été apposés sur le sol. A base de craie, ce procédé de street marketing permit d’informer les cibles principales et constitua un vecteur de communication idéal et d’un excellent rapport visibilité-prix.
Enfin, tout au long de la semaine de l’événement, ainsi que le jour J, l’ours blanc intervint à la sortie de trois écoles de la 4e agglomération de Rennes Métropole. A l’image de l’année passée, sa présence permit d’aller facilement à la rencontre des enfants et facilita la distribution de flyers.
Positionnés aux environs des lieux qui ont accueilli la 4e Biennale de l’égalité femmes & hommes imaginée par la Région Bretagne, cinq hôtes et hôtesses lurent des journaux géants et distribuèrent les supports de communication créés pour l’occasion. Déambulant puis s’immobilisant lorsqu’ils voyaient poindre des visiteurs potentiels, les lecteurs de maxi journaux captèrent l’attention des passants et laissèrent le champ libre aux distributeurs pour que ces derniers puissent diffuser qualitativement le programme, et inviter les personnes intéressées à assister aux rencontres, films et débats qui jalonnèrent ces deux journées. Chaque journal géant reprenait le visuel de la Biennale organisée à Lorient (Morbihan).
Ce procédé de street marketing offrit une visibilité notable à l’événement et permit au conseil régional de Bretagne de capitaliser de la sympathie.