Mise en place aux quatre coins de Saint-Jacques-de-la-Lande, l’opération de street marketing était constituée de trois éléments. En premier lieu, plusieurs centaines de ballons recyclables aux couleurs de la municipalité ont fait office de support de communication. Attaché au rétroviseur conducteur de chaque véhicule et au mobilier urbain, chaque ballon gonflé à l’hélium était imprimé du logo de la 3e édition de la Fête du vélo. Le grand nombre de ballons de baudruche plongea chaque lieu dans une atmosphère festive. Ainsi, la Ville de Saint-Jacques-de-la-Lande a été associée à un moment de joie et de partage.
Ensuite, afin de décupler la visibilité de ce dispositif, des marquages propres (clean tags) en forme d’empreinte de pneu de vélo ont été apposés sur le sol. A base de craie, ce procédé de street marketing permit d’informer les cibles principales et constitua un vecteur de communication idéal et d’un excellent rapport visibilité-prix.
Enfin, tout au long de la semaine de l’événement, ainsi que le jour J, l’ours blanc intervint à la sortie de trois écoles de la 4e agglomération de Rennes Métropole. A l’image de l’année passée, sa présence permit d’aller facilement à la rencontre des enfants et facilita la distribution de flyers.
Positionnés aux environs des lieux qui ont accueilli la 4e Biennale de l’égalité femmes & hommes imaginée par la Région Bretagne, cinq hôtes et hôtesses lurent des journaux géants et distribuèrent les supports de communication créés pour l’occasion. Déambulant puis s’immobilisant lorsqu’ils voyaient poindre des visiteurs potentiels, les lecteurs de maxi journaux captèrent l’attention des passants et laissèrent le champ libre aux distributeurs pour que ces derniers puissent diffuser qualitativement le programme, et inviter les personnes intéressées à assister aux rencontres, films et débats qui jalonnèrent ces deux journées. Chaque journal géant reprenait le visuel de la Biennale organisée à Lorient (Morbihan).
Ce procédé de street marketing offrit une visibilité notable à l’événement et permit au conseil régional de Bretagne de capitaliser de la sympathie.
Personnage emblématique de l’histoire du jeu vidéo, Pac-Man renaquit de ses cendres et véhicula l’image de l’exposition Playtime – Videogame mythologies dans le centre-ville de Rennes. Incarnant une bonhomie certaine, il alla à la rencontre des passants venus remplir leurs hôtes en se fondant dans l’ambiance festive et chaleureuse des fêtes de fin d’année et suscita une viralité palpable sur les réseaux sociaux. Simultanément à ce happening, des pac-gommes furent semées aux alentours du lieu de distribution. Nourriture privilégiée de Pac-Man, les boules blanches devaient être trouvées et apportées à ce dernier. La découverte de chaque pac-gomme permit de remporter une invitation pour l’exposition Playtime – Videogame mythologies. Amusante et ludique, l’opération de street marketing fut accompagnée de la distribution de flyers présentant l’exposition à découvrir aux Champs Libres.
Ancrés dans le principal marché rennais et son équivalent briochin, Les Pirates et La Danaë entonnèrent les chansons qui rythmaient les aventures des Terre-Neuvas sillonnant les Grands Bancs de Terre-Neuve. Attirés par les chants de marins, les nombreux badauds débarquèrent aux abords des représentations et se sont vus remettre un flyer annonçant les expositions Terre-Neuve/Terre-Neuvas de Rennes (Les Champs Libres) et de Saint-Brieuc (Musée d’art et d’histoire). Sensibilisés à l’imagerie de la pêche morutière, les distributeurs de flyers abordèrent les personnes désireuses de découvrir les multiples aspects d’une activité ayant jalonné la vie d’innombrables générations de Bretons.
Parallèlement à l’opération de street marketing, plusieurs centaines de flyers ont été déposés dans des poissonneries de l’agglomération rennaise et de Saint-Brieuc. Le dépôt ciblé permit aux Champs Libres et au Musée d’art et d’histoire de Saint-Brieuc d’étendre encore davantage le rayonnement des expositions Terre-Neuve/Terre-Neuvas dans un lieu à la fois insolite, mais également familier du thème principal.
Posté sur les points névralgiques de plusieurs municipalités de Rennes Métropole (lieu à fort trafic piétonnier, université, marchés, stations de métro, parc relais), un crieur public révéla le programme de la saison culturelle 2013/14 des Champs Libres en allant à la rencontre des habitants de Rennes et de six communes de la périphérie rennaise. La verve de sa harangue captiva l’auditoire et permit aux distributeurs d’opérer une diffusion one to one qualitative des supports de communication. Authentique et singulière, l’opération de street marketing permit au principal espace culturel breton d’obtenir une visibilité substantielle au moyen d’une activité remontant à l’Antiquité et très importante en Basse-Bretagne jusqu’à la fin des années 1670.
Edifiée sur la plage Benoît (La Baule), une fresque monumentale de vingt-cinq tonnes, réalisée par le sculpteur sur sable Laurent Dagron, estomaqua les vacanciers venus profiter des attraits de la station balnéaire. Durant deux jours, l’artiste façonna et colorisa (argile de couleur et pigment minéral) la sculpture de sable devant un public ébahi. Parallèlement à cette performance, Laurent Dagron anima deux ateliers gratuits d’initiation à la sculpture sur sable. Un concours où il suffisait de trouver le poids de l’ouvrage fut également organisé. A chaque atelier, les trois enfants les plus proches repartirent avec plusieurs coffrets de crêpes dentelle et diverses nouveautés de la marque du groupe Loc Maria. En sus de cette animation, les dizaines de participants, ainsi que les nombreux spectateurs, dégustèrent une sélection de produits Gavottes.
L’opération de beach marketing permit au fleuron de la biscuiterie bretonne de jouir d’une exposition substantielle, d’une couverture médiatique, mais aussi et surtout d’offrir un événement dépourvu de connotation mercantile, facteur majeur dans le ressenti des prospects et l’image positive qui en émana.
Placée aux abords directs des lieux stratégiques de Saint-Jacques-de-la-Lande, commune limitrophe de Rennes, l’opération de street marketing visant à promouvoir la 2e édition de la Fête du vélo était composée de trois ingrédients. Lorsque les Jacquolandins ont abordé chaque site, ils ont tout d’abord découvert une manifestation d’arbres. Munis de pancartes en carton sur lesquelles étaient inscrits des messages à caractère informatif et revendicatif, les arbres tenaient les supports avec des doigts formés à l’aide de rameaux.
Ensuite, afin d’accentuer la visibilité de ce dispositif alternatif, des marquages propres (clean tags) en forme d’empreinte d’ours blanc ont été apposés sur le sol. Le pochoir invita les Jacquolandins à suivre le chemin de pas et ainsi contribuer à l’essor de la pratique du vélo. Ce procédé de street marketing permit d’informer les cibles principales et souligna le fait qu’à l’orée de l’été, il est plus agréable de recourir à ce mode de déplacement durable pour se mouvoir et découvrir ou redécouvrir sa commune. A base de peinture biodégradable à la craie, les inscriptions se sont éclipsées naturellement au bout de quelques jours et ont constitué un vecteur de communication efficient et d’un excellent rapport visibilité-prix.
Enfin, durant la semaine de l’événement, ainsi que le jour J, un ours blanc fit son apparition à la sortie de trois écoles de Saint-Jacques-de-la-Lande, sur le cours Camille Claudel et sur le parcours de la randonnée à vélo. Sa présence permit d’aller plus facilement à la rencontre des enfants et servit de trait d’union entre les différentes animations.
Organisé dans l’enceinte du Quai St-Malo par la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Ille-et-Vilaine, Vivre & Habiter est le salon référence dans le domaine de l’habitat en Ille-et-Vilaine. Dans le cadre de sa 24è édition, la CCI Ille-et-Vilaine avait décidé de mettre les petits plats dans les grands pour mettre en avant la nouveauté 2013, le salon L’ATELIER UNIK. En amont et durant les salons, une distribution ciblée de plusieurs milliers d’invitations a ainsi été réalisée dans les lieux stratégiques de Saint-Malo et Dinard. L’opération de street marketing a permis, d’une manière certaine, de mettre en lumière ces événements auprès de nombreux visiteurs potentiels et de drainer une audience qualitative.
Inspirée par l’essence collective du conte de Lewis Caroll, l’opération s’est orchestrée autour du terrier dans lequel Alice a suivi le Lapin blanc. Imprimé numériquement sur une bâche d’un mètre quatre-vingt de diamètre, le trompe-l’œil du terrier a été réalisé avec des encres à base d’eau. Aux alentours du terrier, les distributrices de dépliants étaient dotées d’une ample carte à jouer en référence aux soldats de la Reine de coeur. Afin d’accentuer l’approche ludique et imaginaire : une table ronde, deux chaises en métal, une nappe légèrement surannée, deux tasses de thé fleuries, un chapeau haut-de-forme et une montre gousset ont permis de recréer la cérémonie du thé du Chapelier fou à Saint-Malo, à Paris, ainsi qu’à Rennes. Des « chasses » au Cheshire cat ont également été organisées et ont permis de faire gagner des invitations pour l’exposition (uniquement à Saint-Malo et à Rennes). Un sticker du chat a ainsi été apposé dans un périmètre de cent mètres autour de l’intervention et la découverte de celui-ci permettait le gain d’une invitation valable pour deux personnes. La mise en scène parla au plus grand nombre et permit de capter l’attention des piétons arrivant sur les lieux de distribution des dépliants en se fondant dans l’imagerie des fêtes de fin d’année.
L’opération de street marketing a été accompagnée de la distribution des dépliants présentant l’exposition à découvrir aux Champs Libres.
Influencés par l’univers du street art, les clean tags (marquages propres) à la craie ont permis de capter l’attention des piétons arrivant sur le lieu de distribution des flyers à Nantes et à Saint-Malo. Le pochoir était uniquement composé de l’accroche : « Souriez, vous êtes filmé », en lien direct avec l’exposition La Bretagne fait son cinéma. Volontairement énigmatique, ce dispositif de guerrilla marketing a « troublé » les passants et a permis de nouer le dialogue. A base de craie, les marquages propres (clean tags) ont été visibles pendant quelques jours puis ont disparu naturellement.
L’opération de street marketing a été accompagnée de la distribution de dépliants présentant la programmation estivale des Champs Libres.